Le Dr Femke Holwerda, de l’université d’Utrecht, a souligné l’importance de cette découverte en déclarant : « Ces dents dormaient depuis des décennies dans les collections de musées, mais grâce à cette combinaison révolutionnaire de techniques, elles reprennent vie sous nos yeux, confirmant ainsi la présence des noasauridés dans le Kem Kem. »
Cette percée scientifique met en lumière l’efficacité de ces nouvelles méthodes d’analyse, qui ont permis de déceler des spécimens jusqu’alors insaisissables pour les méthodes traditionnelles. Elle ouvre la voie à de nouvelles recherches sur d’autres dinosaures, notamment les dinosaures à long cou, dont la rareté dans la région promet des découvertes encore plus extraordinaires.