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Crise du nickel : des mesures d’urgence pour protéger les salariés néocalédoniens



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Le gouvernement local de Nouvelle-Calédonie tente de prévenir un crash social en préservant autant que faire se peut les quelque 15 000 emplois que représente l’industrie minière. Les syndicats saluent ces mesures d’urgence, qui comprennent l’octroi d’un chaumage partiel, le report des dettes fiscales et l’étalement des crédits.

Également au sommaire de cette édition :

Nouvelles destructions d’habitats illégaux à Mayotte

À Hamouro, village de la commune de Bandrélé, dans le sud de Mayotte, 137 cases ont été rasées au bulldozer au cours d’une opération pilotée par la préfecture. La destruction de ce bidonville était prévue depuis deux ans, mais sur place, de nombreux décasés se disent pris au dépourvu et dénoncent la brutalité de leur éviction.

L’orpaillage clandestin en diminution en Guyane

En Guyane, le nombre d’orpailleurs clandestins et la production illégale d’or sont en chute libre, se félicitent les autorités locales. C’est le résultat de la lutte engagée par l’État contre cette activité illicite et extrêmement nocive pour l’environnement. Mais il reste encore beaucoup à faire pour l’endiguer : 400 chantiers illégaux demeurent dans la jungle guyanaise.

À la Réunion, un paraplégique saute en parachute

Ancien militaire devenu paraplégique suite à un accident, Rosaire a pu retrouver les sensations fortes du saut en parachute. Le septuagénaire a effectué son premier saut en tandem au-dessus de la Réunion depuis 20 ans.

Des Canaries à la Martinique : 76 jours à ramer à travers l’Atlantique

Un tour du monde à la rame et à vélo : c’est le défi fou que s’est imposé Louis Margot. Après 76 jours d’efforts physiques ininterrompus pour traverser l’Atlantique depuis les Canaries jusqu’à son arrivée en Martinique au début du mois, l’aventurier a triomphé de la première étape du périple.

Pirogue double : la renaissance d’une tradition néocalédonienne

En Nouvelle-Calédonie, un nouvel atelier est proposé au programme des vacances apprenantes : le savoir ancestral permettant de construire cette embarcation emblématique de l’île des Pins. Une technique transmise à la nouvelle génération par un fils et petit-fils de piroguier.

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