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Hausse de 13% des débarquements de pêche à fin février Les débarquements de pêche augmentent de 13% à la fin du mois de février


En valeur, ces débarquements sont en progression de 37% à environ 158,79 millions de dirhams (MDH) à fin février 2024, par rapport à la même période une année auparavant (115,57 MDH), a précisé l’ONP dans son dernier rapport sur les statistiques de la pêche côtière et artisanale au Maroc.
 
Par espèce, les quantités de poissons pélagiques débarquées dans ces ports, situés sur la côte de Tanger à Saidia, ont reculé de 24% au cours des deux premiers mois de 2024 à 777 T, pour une valeur estimée à plus de 10,77 MDH (-18%), contre environ 13,21 MDH/ 1.020 tonnes à fin février 2023.
 
Les débarquements des poissons blancs ont, quant à eux, régressé de 11% à 350 tonnes, pour une valeur de 13,58 MDH (+3%), contre 13,18 MDH/ 393 tonnes en glissement annuel.
 
Concernant les débarquement des céphalopodes, ils ont enregistré une hausse de 48% à 1.896 tonnes pour des recettes d’environ 126,02 MDH (+56%), tandis que pour les crustacés, les débarquements ont reculé de 2% à 133 tonnes, générant des revenus de près de 8,38 MDH (+6%).
 
Quant aux débarquements des coquillages, ils ont reculé de 100% à 0 tonne, contre 308.000 DH/ 10 tonnes une année auparavant, tandis que pour les algues, les débarquements ont augmenté de 8691% à 59 tonnes, contre 1 tonne en glissement annuel.
 
Au niveau national, les débarquements des produits commercialisés de la pêche côtière et artisanale ont atteint 91.996 tonnes à fin février 2024, en baisse de 22% par rapport à la même période une année auparavant. En valeur, ces débarquements sont en recul de 2% à plus de 2,01 milliard s de dirhams.

Les dernières données concernant les débarquements de pêche en France révèlent une hausse significative de 13% à la fin du mois de février. Cette augmentation est une bonne nouvelle pour le secteur de la pêche, qui a été durement touché par la crise sanitaire et les restrictions liées à la Covid-19.

Selon les chiffres de la Direction des pêches maritimes et de l’aquaculture (DPMA), les débarquements de poissons et de fruits de mer ont atteint 167 000 tonnes à la fin du mois de février, soit une augmentation de 13% par rapport à la même période l’année précédente. Cette tendance positive est encourageante pour les pêcheurs et les professionnels de la filière, qui ont souffert des conséquences de la pandémie.

Cette hausse des débarquements peut s’expliquer par plusieurs facteurs. Tout d’abord, la demande en produits de la mer reste forte, malgré la crise sanitaire. Les Français continuent de consommer du poisson et des fruits de mer, que ce soit à la maison ou au restaurant. De plus, la fermeture des frontières a limité la concurrence étrangère, permettant aux pêcheurs français de mieux valoriser leur production.

Par ailleurs, les conditions météorologiques favorables ont également joué un rôle dans cette augmentation des débarquements. Les pêcheurs ont pu exercer leur activité dans de bonnes conditions, ce qui a contribué à une plus grande quantité de poissons et de fruits de mer débarqués.

Enfin, les efforts de promotion et de valorisation des produits de la mer français ont également été déterminants dans cette hausse des débarquements. Les consommateurs privilégient de plus en plus les produits locaux et de qualité, ce qui a bénéficié aux pêcheurs français.

Cette hausse de 13% des débarquements de pêche à la fin du mois de février est donc une bonne nouvelle pour le secteur de la pêche en France. Espérons que cette tendance positive se poursuivra dans les mois à venir, permettant ainsi aux pêcheurs et aux professionnels de la filière de retrouver une certaine stabilité après une année difficile.

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