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les syndicats et le ministère de tutelle avancent sur les dossiers en stand-by Les syndicats et le ministère de tutelle progressent sur les dossiers en attente.


Cette rencontre a abouti à un accord sur plusieurs points, dont la suppression de l’exigence d’une licence pour accéder aux postes administratifs dans les centres régionaux des métiers de l’éducation et de la formation, ainsi que dans les centres d’orientation et de planification pédagogiques. Cela devrait faire l’objet d’un nouveau décrêt.

Les deux parties ont également convenu que les concours et les promotions seront organisés directement après la publication du  décret et des textes y afférents. En parallèle, le dossier des conseillers en orientation et planification pédagogiques de la promotion 2022 sera résolu après l’approbation du même décret précité.

De plus, des formations seront organisées pour les cadres administratifs du secteur de l’éducation, notamment les chefs de services et de départements, les directeurs régionaux et les directeurs d’académies.

En conformité avec l’accord du 26 décembre 2023, le ministère s’est engagé à apporter les modifications proposées, à les soumettre à l’approbation du Secrétariat Général du Gouvernement pour avis, puis à les revoir avec les syndicats avant leur publication au Bulletin Officiel, explique la source.

Concernant la question des enseignants suspendus, le syndicat a précisé que l’administration centrale examinera les réclamations soumises au ministère par les personnes concernées.

Le ministère s’est engagé ainsi à publier un addendum concernant les débouchés de la promotion 2022 du cycle de l’administration pédagogique, leur permettant de participer au mouvement de mutation en mars 2024.

Par ailleurs, le département de Benmoussa a promis d’organiser un concours interne pour les professeurs assistants conformément à l’accord du 26 décembre 2023. Le concours ne concernera que les doctorants de l’éducation nationale.

Concernant les augmentations salariales promises depuis janvier 2024, elles sont en cours de finalisation, pour des questions techniques avec la Trésorerie Générale publique. 
 

Dans le monde du travail, les syndicats jouent un rôle important dans la défense des droits des travailleurs et la négociation des conditions de travail. Ils interviennent également dans les litiges entre employeurs et employés, et peuvent parfois être en conflit avec le ministère de tutelle, chargé de veiller au respect des lois et réglementations en matière de travail.

Cependant, il arrive que les syndicats et le ministère de tutelle se retrouvent à travailler ensemble sur des dossiers en stand-by, c’est-à-dire des dossiers qui sont en attente de résolution depuis un certain temps. Dans ces cas-là, il est crucial que les deux parties mettent de côté leurs différends et travaillent ensemble pour trouver des solutions qui satisfassent toutes les parties impliquées.

Ces situations peuvent être le résultat de divergences d’opinions sur la manière de régler un problème, des obstacles juridiques ou des contraintes budgétaires. Mais quoi qu’il en soit, il est dans l’intérêt de tous de trouver une issue favorable pour éviter que la situation ne s’enlise davantage.

Dans ces cas-là, la communication et la collaboration entre les syndicats et le ministère de tutelle sont essentielles. Il est important que les deux parties dialoguent régulièrement, échangent des informations et partagent leurs points de vue pour avancer sur les dossiers en souffrance.

De plus, il est également bénéfique que les syndicats et le ministère de tutelle mettent en place des mécanismes de résolution des conflits pour trouver des compromis et des accords satisfaisants pour toutes les parties concernées. Ces mécanismes peuvent prendre la forme de commissions de médiation, de comités de suivi ou de négociations assistées.

En travaillant ensemble de manière constructive et en adoptant une approche collaborative, les syndicats et le ministère de tutelle peuvent surmonter les obstacles et avancer sur les dossiers en stand-by. Cela permettra non seulement de résoudre les problèmes en suspens, mais aussi de renforcer les relations entre les deux parties et de promouvoir un dialogue social constructif et efficace.

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