Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a récemment fait une déclaration forte, promettant que les forces israéliennes entreront dans la ville de Rafah pour éliminer les bataillons du Hamas, qu’il y ait un accord de trêve ou non. Cette déclaration survient dans un contexte de tensions croissantes entre Israël et les groupes armés palestiniens, en particulier le Hamas.
Netanyahu a exprimé cette promesse lors d’une réunion avec des représentants de familles d’otages à Jérusalem. Il a également réagi à des rumeurs concernant un possible mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye à son encontre, en affirmant que cela n’entamera en rien la détermination d’Israël à poursuivre ses objectifs.
Des responsables israéliens ont laissé entendre que Netanyahu pourrait être inculpé par la CPI, une démarche perçue comme une tentative de paralyser la capacité d’Israël à se défendre. Le Premier ministre a qualifié cette éventualité de scandaleuse et a appelé les dirigeants du monde libre à condamner fermement cette mesure.
Les États-Unis ont d’ores et déjà exprimé leur opposition à l’enquête de la CPI, montrant ainsi un soutien à Israël dans cette situation délicate. Cependant, la communauté internationale est divisée quant à la manière de résoudre le conflit israélo-palestinien et de garantir la paix dans la région.
Cette déclaration de Netanyahu souligne le climat tendu qui règne au Moyen-Orient et met en lumière les défis auxquels Israël est confronté en matière de sécurité. Il est clair que les tensions entre Israël et le Hamas sont loin d’être apaisées, et il reste à voir comment cette situation évoluera dans les prochains jours et semaines.