La série marocaine « Jouj Wjouh » a suscité beaucoup d’attention et de discussions depuis sa sortie, en raison de son sujet original et audacieux. Réalisée par un réalisateur soucieux d’explorer de nouvelles thématiques, cette série s’est attaquée au phénomène de la mendicité, un sujet rarement abordé dans les productions artistiques.
Le réalisateur a expliqué qu’il souhaitait sortir des sentiers battus et offrir au public marocain une histoire différente de ce qu’il avait l’habitude de voir à la télévision. Il a travaillé en étroite collaboration avec la scénariste pour développer des personnages complexes et des intrigues captivantes, afin de créer un lien fort avec le public dès le premier épisode.
L’objectif de la série était de susciter une réflexion sur la mendicité et ses différentes facettes, souvent ignorées ou mal comprises par la société. En mettant en lumière ce phénomène et en montrant ses conséquences sur les individus, la série a réussi à sensibiliser les téléspectateurs et à les pousser à réfléchir à la manière dont la mendicité est perçue et traitée dans la société.
Le réalisateur a également souligné l’importance de traiter des sujets sensibles et parfois tabous, comme l’impuissance sexuelle chez l’homme dans sa série précédente « Ila Dak Lhal ». En abordant ces thématiques de manière réaliste et adaptée à la société marocaine, il a su captiver son public et ouvrir le débat sur des questions importantes.
En fin de compte, « Jouj Wjouh » a été saluée pour son approche novatrice et son engagement à lever le voile sur des sujets importants. En ouvrant la voie à de nouvelles discussions et réflexions sur la mendicité, la série a contribué à sensibiliser le public et à encourager de nouveaux mécanismes de lutte contre ce phénomène qui touche de nombreuses personnes au Maroc.