Walid Regragui, sélectionneur des Lions de l’Atlas, est actuellement victime d’une campagne de dénigrement orchestrée par des agents malhonnêtes du football. Ces agents, avide de gain, utilisent des moyens mensongers et diffamatoires pour discréditer Regragui et pousser à son limogeage.
Une allégation a été faite selon laquelle 70% du public souhaite le départ de Regragui, sans justifications valables. Cette attaque injustifiée remet en cause le travail et les compétences du sélectionneur qui a réussi de grands exploits avec les équipes qu’il a dirigées, notamment en atteignant les demi-finales de la Coupe du Monde.
L’argument avancé par ces détracteurs est que Regragui n’est pas l’homme de la situation, tout en mettant en avant le nom de Hervé Renard comme son potentiel remplaçant. Cependant, il est important de reconnaître les performances et le succès obtenu par un entraîneur afro-arabe, indépendamment de sa nationalité.
Walid Regragui a su s’adapter aux particularités du football local en parlant la langue et en comprenant les coutumes et les traditions. Il est important de lui laisser le temps de travailler et de faire ses preuves, car le football ne se résume pas à des victoires ou des défaites, mais à la cohérence et à la stabilité d’un projet à long terme.
Le football marocain est en pleine évolution, porté par un projet de relance qui privilégie les institutions et l’éthique sportive. Il est donc primordial de soutenir Regragui dans sa mission et de reconnaître ses compétences au-delà des préjugés et des influences extérieures.
En fin de compte, le football est un sport universel qui unit les peuples et qui doit être pratiqué dans le respect des règles et des valeurs morales. Comme l’a si bien dit Albert Camus, « Tout ce que je sais de la morale, c’est au football que je le dois », soulignant ainsi l’importance de l’éthique et du fair-play dans ce sport passionnant.
