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Une ONG dénonce les violences que subissent les femmes dans les camps de Tindouf Une ONG dénonce les abus contre les femmes dans les camps de Tindouf


Le  »polisario » a confisqué le droit à la planification familiale, un choix naturel à la disposition de toute femme, en imposant une politique de procréation forcée aux femmes des camps, a indiqué l’ONG accréditée auprès du Conseil économique et social des Nations unies (ECOSOC), dans une intervention lors de la 55ème session du Conseil des droits de l’Homme.
 
Le  »polisario » a également forcé les femmes à remettre leurs enfants à leurs dirigeants, en vue d’une déportation en masse vers les pays de l’ancien camp de l’Est, sous prétexte de poursuivre des études, a indiqué PDES, ajoutant que ces enfants sont contraints de rester pendant de nombreuses années dans ces pays loin de leur famille, sans que les femmes aient la possibilité de protester contre cette pratique.
 
Et de préciser que les femmes des camps ont été détenues et soumises à toutes sortes de tortures et de mauvais traitements dans le cadre d’une détention illégale, sans que le pays d’accueil n’intervienne pour leur offrir des conditions légales, notamment l’accès à un traitement médical et à un avocat.
 
En dépit de toutes les tentatives pour mettre fin à ces crimes odieux, les dirigeants du « polisario » continuent d’exploiter et de commettre des abus de pouvoir dans leurs relations avec les femmes et les jeunes filles, et bénéficient d’une impunité totale, le pays hôte, l’Algérie, détournant totalement son attention de la situation, a déploré l’ONG.
 
 »En l’absence de contrôle et de mesures pour assurer la protection des femmes et des filles et prévenir les attaques répétées, l’État algérien perpétue une politique inhumaine qui place les femmes dans une situation inadmissible, avec des risques sanitaires et psychologiques. Cette réalité, selon l’ONG, affecte les femmes des camps de Tindouf, dans le sud-ouest de l’Algérie, et exacerbe les inégalités et les discriminations préexistantes entre les sexes ».
 
Malgré la fragilité des lois, l’Algérie, en tant que pays hôte, en prive les femmes des camps de Tindouf, les soustrayant ainsi aux règles du droit international, conclut PDES.

Une ONG a récemment dénoncé les violences que subissent les femmes dans les camps de Tindouf, situés dans le sud-ouest de l’Algérie. Ces camps abritent des réfugiés sahraouis qui ont fui le conflit dans la région du Sahara occidental.

Selon l’ONG, les femmes vivant dans les camps de Tindouf sont particulièrement vulnérables aux violences physiques, sexuelles et psychologiques. Elles sont souvent victimes d’agressions et de harcèlement, et se retrouvent dans une situation de grande précarité.

Les conditions de vie dans les camps de Tindouf sont déjà très difficiles, avec des pénuries de nourriture, d’eau et de soins médicaux. Les femmes sont souvent contraintes de se débrouiller seules pour subvenir aux besoins de leur famille, ce qui les expose davantage aux risques de violence.

L’ONG appelle les autorités algériennes, ainsi que la communauté internationale, à prendre des mesures urgentes pour protéger les femmes et les filles vivant dans les camps de Tindouf. Il est crucial de mettre en place des dispositifs de prévention et de protection contre les violences sexistes, et de garantir l’accès à des soins et à un soutien psychologique pour les victimes.

Il est essentiel de mettre fin à l’impunité des agresseurs et de faire en sorte que les femmes puissent vivre en sécurité et dignité, même dans des situations de conflit et de déplacement. Il est temps d’agir pour protéger les droits des femmes dans les camps de Tindouf et partout dans le monde.

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